Jordi Querol
Bienvenue dans mon imaginaire, un lieu de gravité relative où le sens commun est absent ; un monde qui se réinvente à chaque regard.
Tout est maintenu dans une suspension inquiétante, où tout mouvement tend vers le cercle, tout se réfère aux cycles : cycles de vie, cycles du temps…
La CaLaCa est une promenade dans le laboratoire d’un être excentrique et de son partenaire squelettique. Ils nous invitent à découvrir des limbes peuplés d’objets farfelus : éventails, patins à roulettes, disques vinyles, katanas, flûtes, pommes…
La CaLaCa met en scène l’acceptation de la contradiction, tel un oxymore qui donne une vision métaphorique du quotidien.
La transformation est une constante, une nécessité pour continuer à avancer.
C’est un jeu.
Je lance un défi à mes limites et mes « géants imaginaires ».
La CaLaCa est tout simplement la somme de toutes les péripéties auxquelles je me suis heurté dans ma vie. C’est la chorégraphie absurde des inquiétudes qui assaillent ma personne.
Conception, jeu, jonglage : Kerol
Marionnettes : Ayelén Cantini
Mise en scène : Dominique Habouzit
Régie son et lumière : David Maillard
Photo : Marta Garcia
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