Ensemble, ils ont fondé le folk-club « le Bourdon » à Paris.
C’était au début des années 70….
Depuis John Wright a travaillé au Musée de l’Homme et fait des recherches sur la guimbarde, l’instrument sans doute le plus réparti sur notre planète, de la Sibérie au Vietnam, en passant par le continent africain ou américain… Une lamelle en métal ou en bambou, vibrant entre les lèvres ou les dents, instrument parfois utilisé par les shamanes, cela fait rêver…
John a réalisé des panneaux sur la guimbarde pour le musée de l’Homme. Ces panneaux sont visibles actuellement au CPFI du Mans.
John Wright est considéré comme un maître de la guimbarde aujourd’hui !
Catherine Perrier chante, comme toujours. Sa voix peut suffire tant son chant est direct, simple. Elle chante les « vieilles » chansons françaises, toujours d’actualité, intemporelles…
[…] pour qu’il y ait guimbarde, il faut que soient réunies les données suivantes :
– une languette fixée à une extrémité dans un cadre et oscillant à fréquence fixe lorsqu’elle est mise en vibration par action mécanique de la main ;
– un résonateurà forme et à volume variables fourni par la cavité buccale de l’instrumentiste ;
– une « embouchure »constituée par la partie du cadre enserrant la languette près de son extrémité libre. »
Définition extraite de Les Guimbardes du Musée de l’Homme
de Geneviève Dournon-Taurelle et Johon Wright.
Editeur Muséum National d’Histoire Naturelle