Interroger ensemble les formes musicales de type « symphonie » ou « concerto » avec les moyens les plus rudimentaires : notre propre voix, des sons choisis dans des objets qui nous entourent (chaise, trousse, journal, etc….), et des textes de toute nature.
Affiner notre perception des plans, des passages : une forme pouvant insensiblement en devenir une autre, un mode de jeu pouvant insensiblement en devenir un autre, un équilibre pouvant se transformer en un autre équilibre.
Accueillir ce qui vient en proposant certaines contraintes tirées au hasard (dés, yi-king ou autre), et tester notre souplesse, nos possibilités d’invention face à un arbitraire – qui permet aussi d’évacuer le désir de trop maîtriser…
[/(Martin Moulin, janvier 2013)/]
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