chorégraphe danseur Jean-Luc Okou
regard extérieur Blaise Kouakou
lumière Jean Guillet
costumes Odile Crétault
accompagnement Véronique Moigne
« La mémoire d’une enfance, le souvenir d’un passé.
La présence d’un regret, d’une tristesse, d’un mal être…
La perte d’une réalité depuis l’enfance, la perte d’un héros, d’un modèle, d’un exemple…
La perte d’un espace-temps, d’un espace vide.
La perte d’Êtres chers – un Père parti, une Mère disparue, un Mentor écroulé… la mort !
Je pars de ces références pour questionner l’endroit du deuil, l’endroit de la perte, l’endroit du vide que nous ressentons parfois lorsque des moments nous remontent dans la mémoire… »
Jean-Luc Okou
Jean-Luc Okou est un danseur chorégraphe ivoirien, issu de l’Ecole des Sables (direction Germain Acogny). Cette formation l’a amené à pratiquer avec les grands noms de la danse contemporaine africaine : Béatrice Kombe, Georges Momboye, Karima Monsou, Salia Sanou, Wèrè Liking, Opiyo Okach, Nadia Beugre, Seydou Boro, Serge Aimé Coulibaby, Faustin Linyekula, Neta Pulvermacher, Andréya Ouamba, Noel Kettly, Vincent Mantsoe …
Il reprend, depuis son arrivée au Mans, un solo qui a été créé et dansé en Afrique en 2016, sur la thématique du deuil. Le sujet est traité de façon personnelle et universelle.
Blaise Kouakou, qui a été danseur pendant longtemps avec la Cie Montalvo-Hervieu et a dansé pour Bernardo Montet entre autres, sera le regard extérieur pour cette reprise.
Co-production La Fonderie au Mans.
Photo © Eric Minette
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