Vendredi 16 novembre 2018 17:00-20:00 Samedi 17 novembre 2018 14:00-19:00
En présence du collectif des Blouses noires de Rouen, du collectif psy-soin-accueil, du collectif La Trame de Seine-Saint-Denis, des Ceméa Pays de Loire, du collectif La Parole Errante Demain de Montreuil, du collectif La Belle Brute de Lille, d’Antoine Ménard (psychologue), de Bernard Aspe (philosophe)… Cette deuxième semaine des rencontres consistera à partager un ensemble d’enjeux autour des gestes fragiles et indispensables que nous avons tenté d’inscrire à La Fonderie depuis plusieurs années. Sensibles à l’hypothèse que les terrains psychiatriques, politiques, artistiques, littéraires, « tout cela va ensemble », nous avons constaté qu’un atelier existe lorsque s’instituent (provisoirement ou non) des circulations entre le soin, les présents, l’imaginaire et le collectif.Lors de cette deuxième semaine, nous convierons travailleurs sociaux, usagers, militants, à partager ces questions : Y a-t-il une politique de « l’atelier », écoute inquiète, souci d’égalité, enjeux poétiques, exigences formelles, accueil des impossibilités, astuces à trouver, traces à faire et marges à dire, construction d’un temps nécessaire à l’appropriation et au dévoilement des possibles ? Comment ces possibles se mesurent, se conjuguent, voire entrent en conflit avec le temps du travail et des horloges synchronisées ? Comment construire entre les lieux des pratiques qui ne soient pas que temporaires ou assujetties aux politiques libérales et ouvrent des espaces constituants ? Qu’est-ce que faire œuvre commune ? Pendant ces rencontres, les invité(e)s pourront à partir de leurs tentatives mettre ces questions en récit et en perspective. Si vous souhaitez participer à ces rencontres, apporter une contribution ou un témoignage, n’hésitez pas à nous contacter sur inscription collectif.encoreheureux@gmail.com