Réservation OBLIGATOIRE ( jauge limitée cause covid-19)
Compagnie Une Fois Un Jour et la SAESAT Le Mans Métropole
création projet et conduite artistique Nathalie Bailleau
conception, régie lumière, régie générale Pascal Monneau
performance et composition chorégraphique Sandrine Bouteloup, Lena Ferrufino, Anne Foglia, Camille Gawelda, Hortense Gomis, Rémi Guette, Christine Juteau, Marjorie Kellen, Teddy Lige- reau, Carole Paimpol, Cindy Pain, Hugo Paulino, Sophie Pertuy, Lydia Portier, Anne Puccinelli, Françoise Suhard, Clément Villa
La SAESAT Le Mans Métropole, porteuse du projet :
coordination du groupe des danseurs Céline Marboeuf et Delphine Jacquet
coordination administration projet Valérie Houze direction Nadra Didri
« Danse plurielle au singulier, créé en 2017, est un collectif de danseurs amateurs et professionnels, valides ou en situation de handicap. Il met en jeu la composition chorégraphique instantanée dans un process de création. Il convoque les singularités des danseurs pour poser un acte sociétal engagé.
Pour cet Opus 3, le collectif élabore les définitions de son propos artistique. Il interroge les possibles à « construire ensemble » en direct avec le public. Comment donner à voir le réel d’un process instantané avec les dimensions artistiques d’une œuvre chorégraphique ? Comment inscrire ce réel pour activer chez le spectateur une mémoire sensorielle du présent déjà passé et en devenir ?
Pendant exactement 3600 secondes, les danseurs-performers mettent à nu les possibles entre le pluriel et le singulier, mais aussi ses limites entre l’un et l’autre. Comment soutenir les singularités de chacun en oeuvrant à une tâche collective ? Et comment se mettre au service d’un espace commun partagé pour soutenir le déroulement de l’oeuvre ?
Danse plurielle au singulier est soutenu par le Conseil Départemental de la Sarthe, la Fondation de France, l’ADAPEI 72, la DRAC et l’ARS des Pays de la Loire (projets « Culture Santé »), La Fonderie au Mans, Les Quinconces-l’Espal. En résidence à l’Espal du 26 au 30 octobre 2020 et à la Fonderie du 23 au 26 novembre 2020.
La lumière compose avec les danseurs la poétique de ces espaces du sensible.
Danseurs et spectateurs, comment nos perceptions invitent-elles notre imaginaire à sculpter les contours et les volumes de tous ces espaces visibles et invisibles ? »
Nathalie Bailleau
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