« J’ai rencontré la danse buto grâce à Gyohei Zaitsu, au travers de nombreux stages et performances à Paris, Angoulême et Nantes. En 2017, j’ai eu la chance de participer au dernier stage que Masaki Iwana a donné en France, à la Maison du Buto Blanc en Normandie, et je participe depuis 2018 à tous les stages de Moeno Wakamatsu. La danse buto m’apparaît comme le meilleur endroit pour exprimer dans le corps, l’impossibilité de dire, que Samuel Beckett explore dans ses textes.
C’est autour de cette idée que je travaille depuis début septembre, avec l’écrivain dramaturge Kossi Efoui à partir du texte de Samuel Beckett, Cap Au Pire (édition de Minuit, 1982), une exploration autour de cette interrogation : comment le corps peut se désagréger, ne plus être un corps. » […]
Pascal KRUPKA
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