Patrick Viret
Ouverture passée
Projection
jeudi 25 octobre 2018
1 heure
Projection au cinéma Le Royal:
Jeudi 25 octobre 2018 18:00
Jeudi 25 octobre 2018 20:30
Réalisation Patrick Viret
producteur Les Films du Viaduc
coproducteur Le Théâtre du Radeau
Diffusion LMTV Sarthe
Un film commencé il y a trente ans et terminé avant-hier
En 1988, Patrick Viret collaborait aux représentations de Jeu de Faust à la Cartoucherie de Vincennes. Le dispositif scénique contraignant les comédiens à passer par le bois pour aller de cour à jardin lui donna l’idée d’un premier film très court en profitant d’une représentation en matinée, ce qui permettait ainsi de saisir comme des épluchures du spectacle.En 1992, il accompagna la tournée de Chant du Bouc en Norvège et en Italie et articula ce tournage sur le journal de l’un des comédiens, Jean Rochereau, en mélangeant quelques extraits du spectacle avec le quotidien des comédiens.En 2017, à l’occasion de la création de Soubresaut, il pénètre enfin dans « la salle des machines » du Radeau en se confrontant à l’énergie d’une création telle que les répétitions la révèlent avec une abondance d’images « sacrifiées » qu’il sera peut-être le seul à voir, en tout cas le premier à montrer.
producteur Les Films du Viaduc
coproducteur Le Théâtre du Radeau
Diffusion LMTV Sarthe
Un film commencé il y a trente ans et terminé avant-hier
En 1988, Patrick Viret collaborait aux représentations de Jeu de Faust à la Cartoucherie de Vincennes. Le dispositif scénique contraignant les comédiens à passer par le bois pour aller de cour à jardin lui donna l’idée d’un premier film très court en profitant d’une représentation en matinée, ce qui permettait ainsi de saisir comme des épluchures du spectacle.En 1992, il accompagna la tournée de Chant du Bouc en Norvège et en Italie et articula ce tournage sur le journal de l’un des comédiens, Jean Rochereau, en mélangeant quelques extraits du spectacle avec le quotidien des comédiens.En 2017, à l’occasion de la création de Soubresaut, il pénètre enfin dans « la salle des machines » du Radeau en se confrontant à l’énergie d’une création telle que les répétitions la révèlent avec une abondance d’images « sacrifiées » qu’il sera peut-être le seul à voir, en tout cas le premier à montrer.